Je m’apprêtais à ouvrir une boîte d’asperges en conserve lorsqu’à l’intérieur de moi quelqu’un a frappé. Ça a fait comme un grand courant d’air amoureux quand j’ai entrebâillé ma tête et laissé entrer... Crystal.
On n’a pas eu besoin de préliminaires. Le désir perlait au coin de nos yeux : ils avaient cet éclat diamantin et presque fiévreux du prélude à l’amour.
Ma jupe est tombée sur le carrelage, il m’a portée sur la table dans une tendresse brutale tandis que je m’accrochais à son regard, et mes fesses se sont écartées sur le formica froid.
Tout naturellement mes jambes se sont enroulées autour de lui.
Il avait la force d’un homme qui prend soin de lui et malgré son corps un peu blanc pour moi il était l’amant idéal avec lequel je me serais perdue pour l’éternité. Je ne me lassais pas de fixer la petite cicatrice sur son front, qui m'hypnotisait sans le vouloir. Avec force ses doigts ont joué avec mes lèvres, m’excitant comme si demain n’existait plus, je m’ouvrais à lui et il continuait à m’exciter et sa main cherchait plus profond et il a pris son sexe et il m’a pénétrée et j’ai cru défaillir tellement c’était bon. Puis il m’a soulevée et menée au canapé comme une princesse et j’ai entrepris d’engouffrer avec gourmandise son pénis si doux dans ma bouche c’était chaud et fumant et ma langue sur son gland ne pouvait se rassasier et j’étais goulue et le rendre heureux me rendait si vivante et mon coeur battait la chamade comme si c’était la première fois puis il m’a pris le visage et fait comprendre du regard ses désirs et je me suis retournée avide de lui rendre hommage et j’ai cambré les reins pour qu’il accède à l’interdit que je n’offre qu’à la personne que j’aime et il avait ses mains sur mes fesses et il a malaxé ma chair pendant qu’il me montait et mes cris de jouissance résonnaient en symbiose à ses ahanements et je sentais monter en moi le grand frisson.
Je me suis dégagée et retournée pour pouvoir le dévorer des yeux, glissant ma main sur les muscles de son torse en sueur et me répétant à l’infini qu’il était l’homme de ma vie et j’avais envie de lui raconter des milliards de choses mais j’ai juste murmuré « je t’aime » dans un long souffle et mes yeux étaient en feu.
- COUPÉ !
Qu’est-c’qu’elle a la nouvelle, on tourne un porno là, c’est quoi cette farce à la « j’me pâme » !? C’est pas Autant en emporte le Vent !... Allez, on passe à Tabatha dès qu’elle aura fini avec la poire à lavement. Johnny, remontr’-moi la scène sur le combo, p’tain ils vont avoir du boulot au montage.
Je ne sais pas ce qui m’a pris. Probablement une quelconque dope qui m’a fait délirer. Avant de partir j’ai quand même été nettoyer le foutre sur mon visage.
On n’a pas eu besoin de préliminaires. Le désir perlait au coin de nos yeux : ils avaient cet éclat diamantin et presque fiévreux du prélude à l’amour.
Ma jupe est tombée sur le carrelage, il m’a portée sur la table dans une tendresse brutale tandis que je m’accrochais à son regard, et mes fesses se sont écartées sur le formica froid.
Tout naturellement mes jambes se sont enroulées autour de lui.
Il avait la force d’un homme qui prend soin de lui et malgré son corps un peu blanc pour moi il était l’amant idéal avec lequel je me serais perdue pour l’éternité. Je ne me lassais pas de fixer la petite cicatrice sur son front, qui m'hypnotisait sans le vouloir. Avec force ses doigts ont joué avec mes lèvres, m’excitant comme si demain n’existait plus, je m’ouvrais à lui et il continuait à m’exciter et sa main cherchait plus profond et il a pris son sexe et il m’a pénétrée et j’ai cru défaillir tellement c’était bon. Puis il m’a soulevée et menée au canapé comme une princesse et j’ai entrepris d’engouffrer avec gourmandise son pénis si doux dans ma bouche c’était chaud et fumant et ma langue sur son gland ne pouvait se rassasier et j’étais goulue et le rendre heureux me rendait si vivante et mon coeur battait la chamade comme si c’était la première fois puis il m’a pris le visage et fait comprendre du regard ses désirs et je me suis retournée avide de lui rendre hommage et j’ai cambré les reins pour qu’il accède à l’interdit que je n’offre qu’à la personne que j’aime et il avait ses mains sur mes fesses et il a malaxé ma chair pendant qu’il me montait et mes cris de jouissance résonnaient en symbiose à ses ahanements et je sentais monter en moi le grand frisson.
Je me suis dégagée et retournée pour pouvoir le dévorer des yeux, glissant ma main sur les muscles de son torse en sueur et me répétant à l’infini qu’il était l’homme de ma vie et j’avais envie de lui raconter des milliards de choses mais j’ai juste murmuré « je t’aime » dans un long souffle et mes yeux étaient en feu.
- COUPÉ !
Qu’est-c’qu’elle a la nouvelle, on tourne un porno là, c’est quoi cette farce à la « j’me pâme » !? C’est pas Autant en emporte le Vent !... Allez, on passe à Tabatha dès qu’elle aura fini avec la poire à lavement. Johnny, remontr’-moi la scène sur le combo, p’tain ils vont avoir du boulot au montage.
Je ne sais pas ce qui m’a pris. Probablement une quelconque dope qui m’a fait délirer. Avant de partir j’ai quand même été nettoyer le foutre sur mon visage.
19 commentaires:
Ah, on les reconnaît vite les blogs qui ont une perte d'audimat !
;)
Encore une histoire de boules... de Crystal !... ;-)
ahahah, SUCCULENT. Comme toujours.
T'es bête de l'avoir enlevé, ça aurait pu remplacer la crème anti-rides non ?
Remarque t'as pas besoin de ça toi ;-)t'as même pas froid le cul nu sur le formica, waouuuuu !
Coupé?
Bize
STV, c'est balot j'ai même pas écrit "testicules" ;) mais j'attends avec impatience le premier commentaire d'un type déçu par sa recherche google... :)
Plum' bravo tu as découvert the blagouille !! de là à lire l'avenir... ;)
Miette de savane, ne sois pas vulgaire ;)))
Féekabossée, quand j'ai eu ta réponse sur gmail, j'ai vu une dynastie de crèmes anti-rides apparaître à droite des mails, c'était assez jouissif ;))))
Daniel Paillé, oups, déosolée...;)
Je me suis laissée prendre si je puis dire, avec délectation.
bravo !
Classe, j'adore !
Ca valait le coup d'attendre ;)
Je découvre ton blog et "tombe" sur ce billet. J'avoue m'être laissée prendre au jeu, même si jusqu'au bout, je me suis demandée où j'étais tombée !!! :-)))
Bravo, je suis ravie de te découvrir !
Rhooo, mais tout le monde a le droit de tomber amoureux, hein !!!
(tu m'as bien eue, j'avoue !)
La question que désormais tout le monde se pose, c'est "est-ce que ça marche, ce type de note, question affluence ?". Si oui, dis-le moi vite. Moi aussi je peux écrire du porno :)))
Chaque fois que superagrégateur de flus rss me signale "new billet chez Schizozote", je me réjouis ! Mais bon, je vais être franche, c'en est resté à ré, n'en déplaise à la qualité de ton texte ! ;-)
T'as vraiment pas le cerveau fait comme nous, toi !
STV, j'espère que la réponse à ta question est "oui" parce que là, je sens qu'on va bien rire en lisant ton prochain texte chez toi !
Ben dis donc, ça faisait un moment que je n'étais pas venue par ici, et je dois dire que ça surprend!
Faut pas me faire des coups pareils, j'ai failli zapper ;-)
ceci est un test
(Ok ca marche !! attention, pas d'accents ni rien because australie schmurtz shmurtz j'ais pas comment on fait.)
Abs, je te prends a nouveau quand tu veux ;)
Uhsn, tu le savais toi, que classe etait mon deuxieme prenom ?!
Memere Cendrillon, faut pas tomber ici, j'ai plus de trousse de secours, si tu te fais mal c'est juste un p'tit bisou contre la douleur ;)
Je reve, bien sur, et une grosse biroute aide aussi !!
STV, je ne sais pas comment acceder aux stats sur blogger.com (cornebistouille). Mais en toute humilite, je suis sure qu'on frole ici les 296 millions de visiteurs (meme Brad Pitt il a clique, si si, j'te jure)
Madame Poppins, je suis decuuuue, moi qui croyais que mon flux urs etait generateur d'orgasmes multiples !!
Carrieb, noooon, je ref'rai plus, promis jure !
A tous (p'tits nouveaux, grands anciens), dans les prochaines semaines il va m'etre difficile de venir vous rendre visite et j'en suis toute triste, mais bientot je reviendrai me rassasier de vos aventures, laissez la porte ouverte hein, et prevenez le gars a l'entree, qu'il repere mes baskets !
Si, tel Terminator, tu me dis "I will be back", alors je te crois et t'attend. Et la porte de ma piaule n'est jamais fermée à clef. Suffit juste de pas se perdre dans le cinquième district...
See you soon !
Ah, mais c'est bien comme ça que je l'entendais.
(ceci est un double comm', valable pour la grosse biroute, ET pour ton retour !!!)
Enregistrer un commentaire